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 Alyzée Chiyuki ♥

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AuteurMessage
Esclave Hybride
Alyzée Chiyuki

Messages : 6
Date d'inscription : 15/08/2012

Alyzée Chiyuki ♥ Empty
MessageSujet: Alyzée Chiyuki ♥   Alyzée Chiyuki ♥ EmptyLun 4 Nov - 21:56


Chiyuki
Alyzée






    Alyzée Chiyuki ♥ 911


    Chiyuki
    Alyzée
    19 ans
    Esclave




Magasin des Sentiments ; Psychologie.



    La demoiselle, aux premiers abords, est visiblement calme. Elle ne s'énerve pas facilement. Elle est curieuse et n'aime pas qu'on lui crie dessus. Elle adore le dessin, la peinture, l'écriture, la lecture, bref, l'art en général. Cependant, lorsqu'elle dessine, elle a tendance à se couper de ce qui l'entoure. Elle est joyeuse de nature, du moins, elle l'étais avant. La perte de sa jumelle, et du reste de sa famille la hante presque toute les nuits, bien qu'elle est oubliée une grande partie de ses souvenirs. Pas rancunière pour un sous, elle adore la nature et particulièrement la forêt, mais n'aime pas les foules et est claustrophobe.


Cabine d'Essayage ; Physique.



    La demoiselle a une silhouette fine, ni trop grosse, ni trop mince. Elle est assez grande, sans l'être trop. Sa peau est plutot pâle. Son visage est fin et encadré de longues mèches bleues-vertes. Ses yeux bleus océans reflèttent ses émotions, véritables reflet de son âme et de ses états d'âmes, et sont bordés de longs cils noires. Elle sourit presque toujours, qu'elle soit joyeuse ou pas.Elle à l'air fragile, pourtant, sa forme de louve est beaucoup plus imposante. Une épaisse fourrure blanche, de grands yeux dorés et des griffes acérées.


Sur les traces de l'indiscret ; Identité.




      ▬ Nom : Chiyuki
      ▬ Prénom : Alyzée
      ▬ Surnom : Aly' ou A'
      ▬ Âge : 19 ans
      ▬ Sexe : Fille
      ▬ Votre ville (parmis les quatre de l'île):

      ▬ Orientation Sexuelle : Bi'
      ▬ Fantasme : Secret ♥

      ▬ Cicatrices :  Aucune.
      ▬ Troubles Physiques : Aucun.

      ▬ Rêve : Mmh, être libre?
      ▬ Crainte : Ne plus pouvoir dessiner.
      ▬ Troubles Mentaux : Aucun.

      ▬ Odeur Préférée : Vanille.
      ▬ Style de Musique : Rock.
      ▬ Citation Favorite : " Si l'on est pas noirci par le feu, on est brûlé par la fumée "
      ▬ Couleur la plus Appréciée : Rouge sang
      ▬ Fleur Préférée : Rose et Lys
      ▬ Animal Favori : Loup

      ▬ Race : Hybride louve
      ▬ Nationalité :
      ▬ Statut Social : Esclave

      ▬ Armes : Ses griffes et ses crocs.
      ▬ Pouvoirs : //

      ▬ Forces : La vitesse, le dessin, la peinture, etc
      ▬ Faiblesses : La force physique
      ▬ Avis sur la situation actuelle des choses : What the hell ~


Lumière sur l'Obscurité ; Biographie.



    La mère d'Alyzée s'appelait Delphine et assurait personnellement l’éducation de ses filles , quand à son père, elle ne l’a jamais connu et n’en a jamais entendu parler, si elle ne portait pas son nom, Chiyuki, elle aurait pu croire qu’il n’avait jamais existé. Il faut aussi avouer qu’elle n’avait jamais cherchée à en apprendre plus sur lui, après tout, elle était heureuse avec sa mère et sa sœur jumelle, Lyzée. De toute façon, elle n’aurait pas eu grand monde à qui demander puisque mise à part sa famille proche, elle ne connaissait personne. Et pour cause, elles vivaient sur une ferme dans un trou perdue de l’Europe, à plusieurs dizaines de kilomètres du village le plus proche. Mais, ça non plus, ça ne dérangeait pas Alyzée, elle n’était pas comme les autres, elle n’était pas normal, elle était une lycanne…

    Alyzée finit de sceller Belle-de-nuit. Vérifiant une dernière fois les sangles, elle guida sa monture vers l'extérieur et l'enfourcha. Au début, la jument s’était méfiée d’elle, prenant peur dès que la jeune fille approchait trop, sûrement à cause de sa nature de loup-garou. Elle avait cependant finie par s’habituée à sa présence.
    Lyzée et Belle-de-jour, sa monture, les attendait. Elles les rejoignirent rapidement et le quatuor se mit à trotter tranquillement.

    - On fait la course? Proposa soudain Alyzée. Sans attendre la réponse, elle talonna sa monture qui partit au galop. Le vent lui fouettait le visage et envoyait ses cheveux voler de tout les cotés, lui procurant un incroyable sentiment de liberté. Elle jeta un rapide coup d'œil derrière et constata que sa jumelle était loin derrière. C'était toujours comme ça, elle ne la rattrapait jamais. En souriant, la jeune fille tira doucement sur les reines. Elle était arrivée. Passant une main sur l'encolure de Belle-de-nuit, elle admira son magnifique pelage noir de jais. Lyzée arriva.

    - J'ai cru que je ne te rattraperais jamais! Dit-t-elle.

    Alyzée lui sourit, sans répondre. Presque toute leurs journées se passaient ainsi, sans rien de spécial pour rompre la routine mais bon, celle-ci avait quelque chose de rassurant et ni une ni l’autre n’aurait voulue que cela change.

    C'est ainsi que la demoiselle grandit, une enfance banale, autant que peut l’être l’enfance d’une louve en tout cas. Ce n’est qu’a ses seize ans que les choses commencèrent à changer. Quelques jours après qu'elle les ai eus, la lycanne commença à faire des cauchemars.

    Elle était sur Belle-de-nuit et elle courait vite, plus vite qu'elle n'avait jamais courue, la pluie tombait fort et la tempête faisait rage. Elle aurait du rentrer mais elle devait retrouver Lyzée. Elle avait la gorge nouée par l'angoisse qui la tenaillait. Puis, elle se retrouvait dans la rivière qui bordait leur propriété. Le courant les envoyait de tout les cotés alors que Belle-de-nuit essayait désespérément de nager vers la rive. Elles s'échouaient finalement sur la terre, et la, elle trouvait ce qu'elle cherchait. Lyzée. Son bras était tordu en un angle pas naturel du tout. Une rivière de sang coulait d'une profonde blessure sur sa tête. Elle ressemblait à une poupée désarticulée. Un souffle rauque et irrégulier s'échappait de sa gorge…

    Alyzée ouvrit les yeux en retenant un cri. Elle s'assit en haletant. Depuis des mois, le même cauchemar la réveillait chaque nuit, au point qu'elle avait presque peur de fermer les yeux. C'était tellement réel. Elle se leva péniblement, épuisée. De grosses cernes soulignait ses yeux, qu'elle peinait à garder ouvert toute la journée. Elle ne mangeait presque pas, trop fatiguer.

    Tellement fatiguée que, un matin, sa mère décida de la laisser dormir. Hors, le même cauchemar la réveilla, encore plus réel cette fois. Elle s'habilla et dévala les escaliers en appelant sa sœur.

    - Du calme, Lyzée est allée se promener avec Belle-de-jour. Dit sa mère. Puis, jetant un coup d'œil dehors elle ajouta :

    - J'espère qu'elle ne va pas tarder, une tempête se prépare on dirait.

    Jetant un regard rempli d'appréhension à Delphine, Alyzée se précipita à l'écurie. Elle passa une bride à Belle-de-nuit mais ne prit pas le temps d'installer la selle. Elle la guida dehors et grimpa sur son dos, la gorge nouée par l’angoisse. Elle talonna sa monture qui galopait pourtant à pleine vitesse. L’odeur de sa sœur flottait dans l’air et la piste était facile à suivre, quand bien même elle ne l’aurait pas été, la lycanne savait parfaitement où aller. La pluie commença à tomber, se transformant rapidement en véritable averse. Elle tombait tellement fort qu'il était impossible de voir a plus d'un mètre devant. Aucune importance. La cavalière comme la monture connaissait le chemin par cœur. Enfin elle arriva en vue de la rivière. Une tête dépassa quelque seconde. Belle-de-jour! Paniquée, Alyzée ne se rendit pas compte que la berge où elle était s'était tellement gorgée d'eau qu'elle glissait lentement. D'un coup, Belle-de-nuit glissa, entraînant la jeune femme avec elle. L'eau était glaciale. Décidant de se laisser emporter par le courant qui la mènerait certainement à sa jumelle, elle lâcha la bride en espérant que sa jument réussirait à reprendre pied.

    Elle commençait à sombrer quand elle se rendit compte que la plage de son rêve était juste devant... Hors, de gros rochers s'élevaient devant et elle se dirigeait droit sur eux. Puisant dans ses dernières forces, elle plongea, espérant pouvoir passer dessous. En effet, il y avait bien un passage. La demoiselle s'échoua sur la plage. Lyzée était bien la, Son bras était tordu en un angle pas naturel du tout. Une rivière de sang coulait d'une profonde blessure sur sa tête. Elle ressemblait à une poupée désarticulée et un souffle rauque et irrégulier s'échappait de sa gorge, à l'instar de son cauchemar. Se dirigeant vers elle tant bien que mal, Alyzée se laissa tomber à coté d'elle et la secoua.

    -LYZÉE!, cria-t-elle, Lyzée réveille-toi je t'en prie...
    Elle avait peut-être réussie à éviter les rochers, mais pas sa sœur.

    Celle-ci toussa.

    -A?

    Les yeux embués par les larmes, l'interpellée se força à lui sourire.

    -Je suis la. Ne t'inquiète pas tout va bien aller.

    Qui essayait-t-elle de convaincre?

    - Tu te souviens quand on faisait la course à cheval? Tu étais toujours devant, j'avais peur que tu ne m'abandonne...

    Pourquoi invoquait-t-elle ces moments? Les yeux brûlés par les larmes, Alyzée renifla péniblement.

    -Je n'étais jamais aussi loin que tu le croyais... Je ne t'aurais jamais abandonné, je ne t'abandonnerai jamais!

    - Bien... Au revoir, A...

    Le souffle rauque qui s'échappait encore de ses lèvres disparut. C'était fini. De ce qui se passa entre le moment ou sa sœur mourut et celui ou elle se réveilla dans sa chambre, Alyzée ne garda aucun souvenir. N'était-ce qu'un cauchemar? Non, elle le savait bien. Elle descendit péniblement. Sa mère était assise sur une chaise, un mouchoir essuyant ses yeux larmoyant. La voyant, elle essaya de se ressaisir.

    -Alyzée...

    - Je sais maman.

    La coupa-t-elle. Son interlocutrice fondit en larme.

    1 an plus tard.
    La vie à la ferme était devenue bien triste, une nouvelle routine s’était installée, remplaçant l’ancienne que personne ne voulais voir changer. Mais bon, il y a certaine chose face à laquelle on ne peut rien faire. Le décès d’un proche en fait partit, et tout le monde passe par là un jour ou l’autre, certain plus tôt que d’autre. La seule chose à faire, c’est de laisser le temps faire son œuvre et de chérir les souvenirs des bons moments passés avec ladite personne. Sauf que certain n’y arrive pas, ce fût le cas de Delphine, qui délaissa peu à peu sa fille, plongée dans son chagrin.
    C’est ainsi que la demoiselle se mit à passer ses journées toute seule, à ne rien faire sauf parfois une petite promenade en forêt sous sa forme animal. Elle ne faisait plus de cheval, l’équitation lui rappelant trop Lyzée et « l’accident », comme sa mère avait prit l’habitude d’appeler la tragédie qui avait causé la mort de sa fille cadette. Il y avait aussi les accusations. Delphine était au courant des cauchemars d’Alyzée et était convaincue que celle-ci aurait pu empêcher tout ça. Il faut dire qu’elle sombrait peu à peu dans la folie.
    C’est dans ces circonstances que la jeune femme retrouva sa mère. Ou plutôt son cadavre. Elle s’était pendue.
    Ne sachant que faire, elle appela le 9-1-1.

    Vêtue d’une robe et d’un chapeau noir, ses cheveux relevés en un chignon compliqué, la demoiselle fixait le sol. C’était l’enterrement de sa mère. Comment en était-t-elle arrivée là, aucune idée, tout s’était passé très vite, en moins d’une semaine. Elle ne voulait pas venir au début, mais elle savait pertinemment qu’elle s’en serait voulu si elle ne l’avait pas fait. Seule à coté du cercueil, elle sentait le regard des quelques autres personnes présentes, pesée sur elle sans que celui ne la dérange le moins du monde. Un brouillard semblait avoir envahir son esprit. Elle serrait des mains, des gens lui parlait, elle ne les entendait pas. Elle aurait simplement voulue que quelqu’un lui assure qu’elle survivrait, parce que, en cet instant, elle était loin d’en être certaine.
    Elle aida à porter le cercueil, bien qu’elle ne soit qu’une jeune femme et regarda le prêter parler sans le voir ni l’entendre. Elle se retrouva toute seule, agenouillée devant la tombe de la femme qui l’avait élevée. Celle de sa sœur se dressait, juste à coté. Les larmes de la demoiselle donnaient à la Terre une couleur plus foncé à l’endroit où elle tombait.
    Il lui fallut un certain temps avant de remarquer qu’un homme se dressait un peu plus loin, semblant la fixer. Il avait un air étrangement familier. Il s’approcha.
    - Alyzée?
    - Qui êtes-vous?
    L’inconnu la regarda un instant.
    - Je m’appelle Silas Chiyuki. Et je suis ton père.

    1 et quelques mois plus tard.
    Alyzée s’étira en baillant et se leva. Elle s’habilla et descendit rapidement. Un sourire illumina son visage quand elle aperçut son père, assit à table. Elle s’assit devant lui.
    – Bon matin
    Un peu moins de deux ans plus tôt, au cimetière, lorsqu’il avait affirmé être son père, elle ne l’avait pas vraiment cru, puis elle avait apprit qu’il était partit régler certains problèmes avec ses parents, un peu après la naissance des jumelles et que, lorsqu’il était revenu, il n’y avait plus trace de Delphine et de ses filles. Il avait passé les 17 années suivantes à les chercher. Elle avait finit par le croire, et l’avait suivit jusque chez lui, en Italie. Elle avait mit beaucoup de temps à se remettre de la mort de sa mère mais avait finit par faire son deuil et avait retrouvée un semblant de bonheur depuis. Depuis qu’elle vivait avec lui, Silas et elle avait déménagé près de cinq fois. Sauf que quelqu’un semblait avoir décidé qu’Alyzée n’aurait plus droit au bonheur.
    Elle finit son assiette, discutant de chose et d’autre avec son père lorsque des bruits étranges se firent entendre. Aussitôt, Silas se raidit.
    – Alyzée, va te cacher et ne bouge pas.

    L'urgence dans sa voix poussa l'interpellée à obeïr et elle se glissa derrière un meuble au moment ou une dizaine d'hommes entraient en fracassant la porte. Il y eu des coups de feu et trois d'entre eux s'écroulèrent par terre. Un quatrième s'élança derrière son père qui rechargait son arme à la vitesse de l'éclair. Il y eu un éclat argentée et il s'écroula dans une marre de sang.

    Les yeux agrandit par l'effroi, Alyzée retenue une crie. Suite à ça les étrangers se mirent à fouiller la maison, détruisant tout sur leur passages. Évidement, ils finirent par trouver la demoiselle.

    Elle ressentie une vive douleur à la tête alors même que des points noirs obscursirent sa vision. Elle s'évanouit.

    Quand elle se réveilla, elle était enfermée et n'avait aucune idée de l'endroit où elle se trouvait. Son dernier souvenir remontait à la mort de sa soeur, et pourtant elle savait que ça faisait plusieurs années. La raison était simple, elle trouva une carte dans sa poche qui disait joyeux anniversaire. Pour ses 19 ans. Comment avait-t-elle pu oublier quatres ans d'existance? Elle n'en avait aucune idée.  Mais pour l'instant, Alyzée aurait surtout voulue savoir où elle était. D'autre gens étaient également prisonniers. Elle les questionna et apprit qu'elle se trouvait dans une ville nommée " Hiroyuki ", et qu'elle été devenue une esclave...






Bas les Masques ; IRL.





      ▬ Pseudonyme : Alyzée
      ▬ Âge : Secret ♥
      ▬ Avis, Conseil à Donner ? :
      ▬ Comment avez vous trouvé l'adresse de notre forum ?  : Longue histoire ~
      ▬ Personnage sur l'Avatar : Hatsune Miku
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Fiche personnage
Race: Elfe noir
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Messages : 191
Date d'inscription : 15/02/2010
Age : 31
Localisation : Japon

Alyzée Chiyuki ♥ Empty
MessageSujet: Re: Alyzée Chiyuki ♥   Alyzée Chiyuki ♥ EmptyVen 8 Nov - 20:01

C'est bon, validé !
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Alyzée Chiyuki ♥

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